Bagnards en cavale

 

La première version de Bagnards en cavale étant épuisée, une autre publication, revue et corrigée, en poche ( au prix de 12€ ) sera disponible en avril 2019 aux éditions les Montagnes Noires (Gourin)

Première parution en juin 2005

16,50 euros

éditions Keltia Graphic (Spézet-29)couv.bagnards

Dans "Les bagnards du canal de Nantes à Brest" (Keltia Graphic 2003, plus de 21.000 exemplaires vendus), Jean Kergrist dressait, à partir de documents d'archive, le cadre géographique et historique du fameux camp de Glomel. Entre 1823 et 1832, des condamnés militaires (objecteurs, fortes têtes, déserteurs, réfractaires, retardataires) creusaient, sur cette commune, la "grande tranchée" du canal de Nantes à Brest, reliant les bassins versants de l'Aulne et du Blavet, aux confins des Montagnes Noires et des Monts d'Arrée.

Il y manquait le témoignage de ces bagnards eux-mêmes, introuvable aux archives.
Pour combler cette lacune, l'auteur, se glissant aujourd'hui dans la peau d'un de ces réfractaires, nous décrit au jour le jour, les lieux, les intrigues et les péripéties de cette vie au camp de Glomel, ponctuée par de nombreuses évasions et décès. Ce "journal d'un bagnard" s'inspire au plus près des données historiques.  Tous les noms cités sont authentiques.


"Jean Kergrist a fait un choix judicieux en adoptant le journal. C'est la forme narrative la mieux adaptée à son projet...Il en ressort une grande humanité qui submerge le lecteur." Marie Josée Christien, revue Spered Gouez N°12 octobre 2005.

"Mieux qu'une docu-fiction, cette oeuvre s'apparente à ceux qui construisent de toutes pièces la copie d'un vieux gréement dont ils n'ont que les plans... Une belle oeuvre d'un point de vue à la fois littéraire et historique". Patrice Verdure, Le Cri de l'Ormeau octobre 2005

"Il se passe toujours quelque chose dans le camp de Glomel : tentatives d'évasions, vol de pécules durement amassés, intimidations, maladies, révoltes de prisonniers, petits trafics...autant d'évènements et d'incidents qui relancent constamment le récit. Outre la vie quotidienne du camp, c'est aussi toute une vision de l'existence et de la nature humaine qui se dessine à travers ce roman" Yves Loisel ,Télégramme, août 2005

"Le nouveau Kergrist est arrivé ! Cette fois c'est dans la peau d'un bagnard du camp de Glomel qu'il se glisse le temps de ce livre...émotions garanties vu les péripéties de cette épopée locale. revue Eau et Rivières, été 2005.