...à périodicité très variable, ouverte le 23 février de l'an de grâces (matinée) 2014...

et (presque) fermé en janvier 2017


sphinx

PRÉ EN BULLE
Cette page n'est subventionnée par aucune collectivité territoriale,
car nous détestons la littérature de faussaires à la main d'organismes bidons ( Offices, fausses assos, EPCC...), instrumentalisés en sous main par des élus.
Quand, par le passé, les gouvernants, ou leurs porte-plumes serviles, se sont occupés de régenter art ou littérature, on a aussitôt
pu constater la régression mentale.


(avec la complicité de Léonor Fini, ici à droite)

Le mot "Bretagne" de ce titre n'implique aucune allégeance à un quelconque communautarisme, autonomisme ou indépendantisme. Il situe juste le lieu de la culture (et parfois de la langue) d'où nous écrivons. Notre regard essaie de porter plus loin que les Régions, les États, les continents... ou les galaxies, car nos territoires sont avant tout imaginés.

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Pour un formatage américain à réactivité immédiate, il faudra vous adresser au logiciel Wordpress. Ici on prend le temps des relations humaines et des labyrinthes rigolos des fêtes foraines. On s'en fout totalement du nombre de zamis sur fesse-bouc.

On n'est pas à un jour près, ni à un mois.
On prend le temps, avant d'écrire, de tourner 7 fois la plume dans l'encrier des sentiments. On amène ses crayons de couleur, on s'écoute, o
n se cause et on se contredit courtoisement. Pour vos plaidoyers en faveurs du Front National, du pâté Hénaff, de la Légion étrangère, de l'Institut de Locarn, ou de l'agriculture productiviste, adressez plutôt vos textes à Minute ou à La France Agricole.

Depuis fin février 2014, sur cette page, déjà près de 400 articles (tous en ligne). Pour faciliter leur repérage, ils sont numérotés. Le moteur de recherche interne vous permet de trouver les thèmes abordés ou les personnes citées.

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Après les aventures du petit Nicolas, celles de Oui-Oui la Bretagne.oui oui la Bretagne

La plupart des canassons engagés dans la course de trot des prochaines régionales, s’entraînent, en fait, pour la course de galop 2017 du grand prix de l’Élysée.

L’un d’eux, casaque gwen-a-du, bonnet rouge, pantalon chinois, retient particulièrement l’attention des parieurs. Spécialiste du trot (adec) et courant sous le nom de Oui-Oui (la Bretagne), il rue des quatre fers dans les brancards de son sulky, écumant hippodromes, palais, paddocks et marchés de gros pour recueillir les 500 signatures exigées sur la ligne de départ.

Notre fringuant trotteur n’est plus tout à fait un jeune poulain. Il n’est pas né de la dernière élection et s’est chargé de pas mal d’handicaps sous la selle : il avait autrefois couru sous les couleurs de Ba-Barre (Monsieur inflation à 14%), puis avait proposé ses services au centriste Bay-Bayrou, puis au joyeux Drille, brillant marchand d’armes a ciré jaune courant sous casaque Armorlux.

Oui-Oui la Bretagne espère, cette fois, profiter du grand bordel à gauche et des rancunes accumulées par les primaires à droite pour aborder la dernière ligne droite juste derrière le canasson du FN, sous les applaudissements des régionalistes bretons, alsaciens, basques, occitans, savoyards, provençaux, normands, vendéens, tourangeaux, chtis, auvergnats, bourguignons, berrichons, poitevins, picards, béarnais, francs-comtois, corses… ce qui, au total, fait pas mal de monde.

Si, dans l’épreuve finale éliminatoire, on y ajoute le vote protestataire, plus celui des centristes, éternels cocus de la droite, plus tous ceux qui veulent barrer la route du port à la Marine, on se dit qu’à l’arrivée Oui-Oui a de grandes chances d’emporter haut la main le trophée.

Une question alors se pose, déterminante pour notre avenir d'oubliés de la République : ira-t-il jusqu’au bout de sa logique de campagne en pratiquant le décentralisation promise de l'état jacobin, forcément jacobin ?

Concrètement : le palais de l’Élysée sera-t-il transféré au château de Kérampuil ? Faut bien un point central pour mâter les féodalités régionales. Sinon la fonction présidentielle, qu'il brigue avec tant d'élan, n'aurait plus aucun sens et ce serait le retour direct à l'Ancien Régime.

Quant à moi, je postule, d’ores et déjà, près de sa majesté, le poste de grand veneur des chasses présidentielles dans la forêt de Conveau.

JK

 

COMMENTAIRES

-Ah justement, entendant hier matin Monsieur Troadec sur les ondes de la radio publique, je me suis dit au réveil, qu'à force de parler chinois avec la délégation Synutra, l'homme s'était emparé malgré lui, de quelques tics de langage surtout au niveau du débit, au point que j'ai eu du mal à bien saisir ses propos. J'ai cru comprendre que pour se faire breton, il fallait commencer par aimer la Bretagne et tous ses produits. Que pour aimer la Bretagne et prouver qu'on l'aime, il fallait créer des emplois, et que pour devenir vraiment Breton il fallait vivre et travailler au pays. C'est précisément ce qu'ont compris les grands patrons chinois de Synutra. Ils sont pas fous, ils s'y emploient. A se demander même s'ils ne se shootent pas aux galettes saucisses , et ne s'endorment pas avec un chapeau rond, pour nous imposer leur si grande et si belle construction stalinienne au bord de la quatre voies et pour mettre à genoux tous nos producteurs de lait qui travailleront demain en contrats d'intégration qui les transformeront en vaches à lait de la mondialisation. AMEN et bienvenus dans la construction de notre grande fabrique d'appauvris.
Ce qui m'a fait sourire, c'était d'imaginer comment Le Drian notre ami à tous, désigné premier vendeur de l'année par Le Fur, devait se frotter les mains d'avoir mis en selle le maire de Carhaix qui va lui servir de chèvre. Tant qu'à vouloir traire son prochain pour sa propre élévation, qu'importe la mamelle, tous les moyens sont bons.
Iso

-Ah oui, les chinois ! Je les avais un peu oubliés dans ce scénario d'anticipation plus que crédible. À l'arrivée ils seront aux anges (dans nos campagnes). Comme, suite aux révélations de l'OMS sur la charcuterie et la viande rouge cancérigène, ne subsistera de la filière agroalimentaire bretonne que le lait, les chinois seront aux avant-postes aux côtés de Oui-Oui pour contrôler la nouvelle république. Ils sauront le faire à la chinoise. Silence dans les rangs. Vos gueules les bretons, alsaciens, basques, occitans, savoyards, provençaux, normands, vendéens, tourangeaux, chtis, auvergnats, bourguignons, berrichons, poitevins, picards, béarnais, francs-comtois, corses… Les  paysans gardiens de vaches et les chômeurs aux rizières. Les bouddhistes tibétains parqués derrière des barbelés à Kerguzul. On aura échappé à Marine mais on aura Xi Jinping. JK

-Samedi, au salon du livre à Carhaix, j'ai pu entendre Oui-Oui manquer une nouvelle fois de tact, puisqu'il a naturellement appelé à voter pour lui lors des discours d'ouverture (de la chasse aux voix ), et Martial Ménard, qui comme président de la version 2015 appelle à voter Oui-Oui, pas la moindre réserve dûe à sa fonction éphémère, devant Le Boulanger qui avait pourtant dû valider la subvention de son dico. Jean-Pierre

 

La grande affaire du siècle aurait pu s’appeler CLOPE21, tellement elle nous enfume en titillant nos poumons. Ou encore KNOPP21, si Knoppy, enfin libéré de son chicot -cf article 243- avait mis les quelques cigares dans l’escarcelle, comme tous ces bienfaiteurs du climat que sont GDF, EDF, Renault Nissan, Suez Environnement, Air France, ERDF, Axa, BNP Paribas, Air France, LVMH et Ikéa, grands champions français des pollutions tous azimuts. Google, grand refroidisseur de planète avec ses immenses data centers, s’apprête à apporter, lui aussi, son obole à la crèche, rejoignant à dos de chameau tous ces rois mages de l’écologie industrielle.

Il faut « rechercher systématiquement des économies dans tous les postes de dépenses et en même temps solliciter des entreprises » a lancé en levant le menton la tête d’œuf Fabius, ordonnateur en chef de la fiesta parisienne... pendant que la Ségolène, tête d’atmosphère qui, rien qu’en fronçant ses faussettes, refroidissait les plus chauds pollueurs de la planète en annonçant, en avril dernier, « Les gaz de schiste ne sont plus d'actualité", signait, avec Macron, le 29 septembre dernier, l’autorisation de recherche de gaz de schiste en Marne, Seine et Marne et Bas Rhin (près du Bas du dos, là où se perdent les coups de pieds au cul), tandis qu’Obama, autre grand militant climatique, permettait à Shell les forages pétroliers dans l’Arctique, que Macron autorisait le prélèvement de sable des dunes au large du Trégor et l'envol des géants atmosphériques à N-D Des Landes et que les deux clowns hélicologistes, Hulot et Arthus Bertrand, brassant l’air des pales qui leurs servent de bras, nous faisaient verser une larme cinématographique sur les affreux dégâts climatiques vus d’en haut.

Le rechauffement climatique

Cette opération de « greenwashing » (Traduction : "la mère Ségo lave plus vert  que la mère Denis, c’est bien vrai ça !") a déjà accouché d’une mesure concrète qui va couper le gros zizi du méchant réchauffement : le tapis rouge de l’Élysée a été repeint en vert. Alleluia ! Autre motif d’autosatisfaction : la fameuse quête aux 100 milliards du sacristain Fabius a presque atteint son objectif. Le climat n’a plus qu’à bien se tenir et les ouragans, inondations, et autres cyclones à rentrer chez eux, sinon Fafa leur fait les gros yeux et Hollande va les noyer avec les fainéants de chômeurs dans un tsunami de nouveaux discours (il vient d’embaucher 2000 Paul Emploi pour nettoyer les listes d’attente afin de pouvoir se présenter dans la foulée, promesse tenue, sur le tapis vert du prochain casino électoral).

Pendant un mois, les médias vont nous foutre le thermomètre au cul en nous bassinant de sondages sur ce grand succès prévisible à 2% affiché. Les 100 milliards récoltés vont permettre de créer des digues anti-inondations et des machines ultra performantes pour arroser la progression des déserts vers le nord en plantant des vignes sur le Roch Trédudon.

À problème tech, solution nique. Avant leur fonte, les glaciers vont être découpés en petits morceaux pour rafraîchir nos Ricards. Une vraie révolution climatique à 2%, je vous dis ! En construisant nos maisons flottantes et en installant nos climatiseurs, trinquons à cette fulgurante réussite en compagnie des 200 millions de réfugiés climatiques qui, avant la fin du siècle, vont déferler du Bangladesh, d’Alaska, de Papouasie, des Pays Bas, de Turquie et de Gobi. JK

 

COMMENTAIRES

Ah mon cher colonel votre sainte visitation médicale ne vous a guère affecté ! Et à la lecture de votre FLOP21 je me disais, pensant à vous d'une manière inhabituelle, que chez vous finalement, les boyaux de la tête étaient toujours verts. Sous entendu, cet homme là rien ne l'affecte, même pas le climat, il est toujours dans une forme olympique, même au lendemain d'un endormissement artificiel obligatoirement prolongé. C'est louche. Ces forces surnaturelles lui viennent-elles d'une force divine, ou d'avoir cultivé son jardin toute sa vie, d'avoir honoré la vigne et le tabac et d'avoir résisté à la pénalisation de l'utilisation du purin d'ortie et autres forces nucléaires et pestilentielles de tout accabit ? Dans ce gloubi boulga verdâtre, je me disais aussi, mais comment trouver ma voie, celle du salut éternel et comment retrouver la foi ? Et de quelle couleur est-elle ? Et si sur terre c'est l'enfer vert comment gagner son paradis ? Autrefois on donnait 10 francs pour le Biafra et le tour était joué. Mais aujourd'hui tout est si compliqué. Ah mon père, comment ne pas s'engager comme serviteur volontaire dans la nouvelle green religion du 21ème qui fait de plus en plus d'émules qui veulent vivre entre COPains. Comment ne pas s'engager pour sauver la terre, à servir Saint-Gobin et les Saints fournisseurs d'énergie ? Comment ne pas devenir avec ATOS les nouveaux mousquetaires fondateurs des villes intelligentes ? Comment raison garder face à toutes ces propositions d'engagements aussi alléchantes les unes que les autres ? En quoi croire et comment être croyant et avec qui ? C'est alors que je me suis rappelée de la liste des partenaires du nouveau Vatican Vert :
BNP Paribas, la Caisse des dépôts et consignations, ou Suez Environnement, le Syndicat des eaux d’Ile-de-France, Derichebourg, et des grands groupes de l’énergie : EDF, ERDF et Engie (ex-GDF Suez). Ou encore Air France, Galeries Lafayette, Ikea, JCDecaux, LVMH, Michelin, La Poste, Renault Nissan, et une PME, l’imprimeur ACI, qui offre ses services...
Et à deux doigts de m'engager dans la COP pour en finir avec ce grand vide en moi, ma foi est retombée comme un soufflé !
Mais ce n'est que partie remise ... d'autres religions arrivent, elles sont en cours d'élaboration. Il y en aura pour tout le monde. En attendant, vous avez raison, sortez les glaçons et trinquons frère Jean, mais pour une fois, permettez, c'est moi qui fais le train. Iso

-Trinquons trinquons ma belle ! Le vin va couler des landes. Pour les vignes sur le Roch Trédudon, je croyais faire de l'humour en anticipant, comme j'essaye toujours, la connerie de mes frères humains. Je viens de lire hier dans le journal que l'ineffable Gérard Alle, celui qui nous avait tous bien cocufié naguère -du temps du défunt site "Les Habits du lundi" (en breton) : on pédalait comme des bœufs, il jouait au petit père la censure en plaçant à tout va des extraits de ses vieux bouquins rances-, après s'être abondamment goinfré de paté Hénaff, se coule désormais -avec, comme toujours, l'art médiatique de le faire savoir- dans le réchauffement climatique en promouvant... les vignes bretonnes!!! Dire que ce Pécuchet de haut vol (relire Flaubert) traitait naguère Bouvard-Troadec d'arriviste-opportuniste (c'était d'ailleurs la seule éditoriale de ce site Internet défunt)!!! C'est qui qui dit... J

-QUAND LA MESSE EST DITE faut pas la ramener.
La COP 21 a dit toute la vérité sur le climat. Les papes de Negawatt ont parcouru notre beau pays pour faire la promo de la nouvelle loi de transition énergétique. Elle nous imposera bientôt un compteur Lincky et un carnet de santé pour notre maison. Au nom du climat ! Normal ! Le passport de notre logement nous suivra de notre vivant et après notre mort, avec à la clef une assurance Bonus Malus qui punira les délinquants et leurs héritiers s'ils n'ont pas effectué leurs travaux d'isolation dans les temps. C'est formidable. Les gens sont tellement tricheurs. Mais bon, au nom du climat, nous allons tous ensemble, réaliser de grandes choses pour l'humanité ! Pour une fois qu'on a un sujet commun qui nous met tous d'accord, enfin ! Montrons l'exemple, sinon de toute façon on sera taxé. Si la France s'engage pour sa conférence mondiale à fermer ses frontières du 13 novembre au 13 décembre, afin de contrôler la libre circulation des corps étrangers, on comprendra bien qu'elle n'a pas le choix. C'est une question de sécurité. Si notre pays refuse de recevoir les représentants des délégations des pays les plus pauvres, c'est normal, on ne va quand même pas les héberger à Paris, alors qu'ils n'auront pas les moyens financiers de participer à la grande aventure climatique. Soyons raisonnables. Si pour les organisateurs de la COP21 la cible c'est nous, la société civile, les zadistes et tous les sceptiques, c'est qu'il y a parmi nous, de farfelus complotistes et de dangereux extrémistes. C'est la vérité. Ils ne possèdent pas de passeport diplomatique et tout le monde ne peut être invité à la table des négociations. On ne peut plus mettre en doute les conclusions d'un nombre important de scientifiques. Le GIEC depuis des années nous a montré la voie et apporté les preuves de ce qu'il disait. Alors passons à l'action et faisons ce qu'il nous demande, c'est pas compliqué. Un peu d'obéissance ! Sur le climat, la messe est dite. Il y a urgence. Cessons de pinailler, la vérité on la connaît, les problèmes de la planète seront résolus grâce à notre surendettement climatique. Alors tout simplement surendettons-nous !
Ce n'est pas ce que dit Philippe VERDIER le Monsieur Météo de France 2 qui est en train de perdre son boulot. A lui tout seul, il a osé critiquer le GIEC ! Il est fou ! Son livre CLIMAT INVESTIGATION dénonce que le réchauffement climatique tel qu'on nous le prêche est un scandale planétaire, dit-il.
Monsieur Verdier, on connaissait la vérité, pourquoi la mettre en doute, vous nous embrouillez ! Nous sommes au XXIème siècle, et cette religion mondiale qui promettait aux pays riches du paradis sur terre à condition de tirer la chasse d'eau tous les quatre pipis et de mettre un gobelet sur le lavabo nous convenait parfaitement. Avec un peu de laine de verre sous les combles ... Je ne vous connais pas Monsieur VERDIER car je n'ai pas la télé et pour voir le temps qu'il fait, personnellement j'ouvre ma fenêtre, mais si j'écoutais mon coeur, je vous dirais :
" Quel que soit votre discours, il n'est jamais bon d'avoir raison trop tôt ! Surtout en dictature " Iso

-Cette histoire de réchauffement, ça doit pas être si grave pisque le gouvernement relance l'aéroport de Nantes et le chantier EPR...
'toutes façons, ce Verdier que je ne connais pas non plus, il arrivera jamais à la cheville d'un Claude Allègre par exemple... Knoppy

-Avec notre Iso nous avons beaucoup mieux que Claude Allègre. Hélas, quelques négationnistes climatiques ne font pas le printemps ! Le réveil pour eux sera douloureux quand il verront les réfugiés climatiques, venus de tous les coins du monde, pisser dans leur jardin. JK

 

Pas de doute dans notre beau pays on finira tous à poil dans pas longtemps. 

Même ceux qui travailleront, s'il en reste, ils n'auront plus de quoi se payer ni une chemise, ni un loyer, ni un dentier, ni un implant, sauf s'ils décident de jouer les immigrés pour se faire soigner en dictature où, d'après les larges sourires affichés, tout le monde à l'air vraiment content, en Tunisie labellisée démocratique ou en Corée. Mais pour partir en dictature se faire soigner, faut prendre l'avion. Pour prendre l'avion il faut des sous. Pour se soigner il faut du blé. Pour faire décoller les avions faut du personnel. Bref, pour tout ça, faut du boulot.

a poil

Avant, le travail c'était la santé, la liberté, la réussite, la richesse du pays, la fierté et même l'émancipation des femmes qu'on leur disait tellement qu'elles l'ont cru, même les mères de famille qui faisaient les 3/8 !... Le problème, quand il n'est plus coté en bourse le travail, il vaut plus rien. Et curieusement, toutes ses qualités d'avant commencent à ternir. Le travail, quand on le regarde par des prismes différents, il perd toutes ses qualités d'avant finalement.

A l'allure où le grand patronat dégomme les emplois, à l'allure où il jette les travailleurs par la porte ou par la fenêtre, on se demande qui acceptera encore de bosser demain. Etre viré comme un moins que rien certains en meurent, 14000 à l'année. Le risque, c'est qu'un jour, tout le monde se mette à fuir le travail comme la peste, comme le diable ! Au secours je ne veux plus y aller ! Je ne m'en remettrai pas. Sauve qui peut. J'en veux plus ! Mais si personne ne travaille plus, personne ne paiera plus ses traites, ses loyers, sa bagnole, ses impôts ... Imaginez la gueule du capitalisme, des banques, de la Cour des comptes, des caisses de l'Etat. Faut pas rêver ! Si au bout de deux licenciements atroces, les gens sont cassés physiquement, moralement, par la pression, l'oppression, l'injustice, la folie, l'absurdité ... Ils ne pourront plus bosser. On les mettra dans la case des Fracassés ! Avant, les pauvres travailleurs ça rapportait, mais si ça ne paie plus, elle aura bonne mine l'industrie, et la grande distribution quand auront disparus les demandeurs d'emplois ... Ils auront bonne mine les transports aériens, sans personnel. Alors je me disais, ils vont vivre de quoi les gens des directions sans personne à diriger? Sans salaire, plus personne ne prendra plus l'avion. Et puis c'est qui qui va les licencier les DRH ?

Si la norme c'est : des licenciements par paquets de deux milles, ce sera bientôt à leur tour de sauter ! Faudrait leur dire, non ?

En tout cas, en Europe on n'appelle pas ça récession, on dit croissance négative. Mais au fait, comment on les appellera demain les personnes sans rien qui vivront dans la rue malgré les 77 000 logements vides en Europe ? Et les chômeurs, quand on sera tous sans emplois on les appellera comment ? Alors, heu, on ne dit plus pauvre, on dit personne en difficultés, on ne dit plus infirme, on dit personne à mobilité réduite, on ne dit plus aveugle, on dit mal voyant, on ne dit plus sourd, on dit mal entendant, on ne dit pas un roi nu, on dit un DRH agressé sauvagement. On ne dit plus en échec scolaire, on dit en réussite différée. On ne dit plus un employé en colère, on dit un dangereux voyou. On ne dira plus un demandeur d'emploi édenté, on dira un être inoffensif et inopérant ? Ou encore un ex DRH ou un ex membre d'une ex direction qui n'aura pas su se reconvertir, on dira un mal redirigé ?

 J'attends avec impatience, les prochaines manifs, on pourrait y voir flotter à la place des drapeaux des corps constitués, des jolies chemises avec des cravates ! Avant c'était le symbole de la réussite sociale, mais plus maintenant.

Ah mais c'est vrai, on ne dit plus réussite sociale, on dit égalité des chances pour tous.

En tout cas, celui qui serait pas fou, il se lancerait dans une entreprise de polos chics ... il ferait des affaires ! A mon avis tous les responsables des ressources humaines sont déjà en train de changer leur garde robe.

Iso

 

À poil le DRH !

            Tout d'abord, et bien que ceci n'ait rien à voir avec cela, je tiens à remercier tous les nombreux et breuses dentistes et tistes qui ont répondu en masse à mon appel au secours de la semaine dernière. Bref rappel à destination de celles et ceux qui n'auraient pas suivi, c'était à propos de la rénovation de mon râtelier. C'est intéressant pour les statistiques de ce blog de savoir que ce noble corps de métier, injustement décrié, est largement représenté parmi les lecteurs fidèles. J'ai finalement retenu l'offre d'un praticien nord-coréen qui a refait les ratiches de Kim-Jung-Un.

kim

Eh oui, même là-bas, oncle JK est connu comme le loup blanc à nez rouge ! Je lui ai juste fait promettre (au dentiste) de ne pas me présenter le coiffeur de ce sympathique dirigeant à l'éclatant sourire. Une super promo d'enfer à l'occasion du 70ème anniversaire de la naissance de la dynastie Kim. Même avec le billet d'avion, le quatre étoiles en pension complète pendant une semaine et les visites organisées des centres de rééducation fonctionnelle, l'implant dentaire revient trois fois moins cher ! Je ne sais pas si vous vous rendez bien compte... Bien, je clos la parenthèse.

            J'en reviens au titre. Adonc, le Directeur des Ressources Humaines de chez Air-France, un gars grassement salarié qui est chargé de virer ses collègues pour faire plaisir aux actionnaires, s'est retrouvé en fâcheuse posture, sa chemise de marque toute lacérée, alors que ce début de mois d'octobre est plutôt frisquet, il a même neigé dans les Ardennes, c'est vous dire. Il a bien failli choper la mort et le procureur qui a inculpé les salariés taquins de « violences aggravées » ne s'y est pas trompé. Ce n'est pas que de la solidarité de caste entre nantis, c'est aussi et surtout une triste réalité climatique avec le risque de prendre un mauvais coup de froid, même s'il faut bien admettre que la liquette lacérée vous donne un look sexy qui déchire...

dechire

            Des mauvaises langues évoquent une sanction disproportionnée et une arrestation humiliante à l'encontre de ces prolétaires espiègles. Mais là, je m'insurge ! Il faut bien faire la différence entre la soi-disant violence institutionnelle (laissez-moi rire...) des cadres sups en cravate, qui sont généralement des personnes éduquées, pleins de courtoisie, polis, lissés et policés et la violence primitive et barbare de syndicalistes mal dégrossis et vulgaires, probablement avinés, voire anisés. D'ailleurs, si les dirigeants des grandes sociétés du CAC 40 se déplacent avec des gardes du corps, c'est bien qu'ils craignent pour leur sécurité ! Ce besoin de protection est légitime et parfaitement justifié, comme l'a tristement prouvé cette inqualifiable agression, assumée par des brutes rétrogrades qui s'accrochent à leur emploi et à leurs privilèges d'un autre âge comme des morpions à un pubis mal épilé.

« Le temps du salariat est révolu », clament les politiciens visionnaires de « Les Républicains » et les socialistes avant-gardistes macroniens. La tendance est à la précarité : le contrat de mission. Hop, tu signes là, t'as trois mois pour faire ce job. Si c'est bien fait, peut-être que tu auras un autre contrat derrière, mais sinon...

            Finie l'arrogance du délégué syndical bolchévique ! Enterrées, les sempiternelles revendications d'un autre âge pour exiger des avantages sociaux obsolètes et coûteux. Profil bas ! Tu bosses et tu fermes ta gueule. Le véritable progrès social est là ! Plus besoin de délocaliser en Chine ou ailleurs, la France redeviendra un pays d'esclaves dociles et productifs.

            Je termine par la citation d'un véritable homme de gauche, qui est mort, comme tous les véritables hommes de gauche (citez-moi le nom d'un seul qui soit vivant !). c'était il y a 109 ans, mais ça n 'a pas pris une ride...

« Le patronat n’a pas besoin, lui, pour exercer une action violente, de gestes désordonnés et de paroles tumultueuses ! Quelques hommes se rassemblent, à huis clos, dans la sécurité, dans l’intimité d’un conseil d’administration, et à quelques-uns, sans violence, sans gestes désordonnés, sans éclats de voix, comme des diplomates causant autour du tapis vert, ils décident que le salaire raisonnable sera refusé aux ouvriers ; ils décident que les ouvriers qui continuent la lutte seront exclus, seront chassés, seront désignés par des marques imperceptibles, mais connues des autres patrons, à l’universelle vindicte patronale.

[...] Ainsi, tandis que l’acte de violence de l’ouvrier apparaît toujours, est toujours défini, toujours aisément frappé, la responsabilité profonde et meurtrière des grands patrons, des grands capitalistes, elle se dérobe, elle s’évanouit dans une sorte d’obscurité. »

Jean Jaurès, discours devant la Chambre des députés, séance du 19 juin 1906.

Au revoir les coquins, et à bientôt.

Knoppy

Pascal -prénom Blaise- celui qui était effrayé par « le silence de ces espaces infinis », va bientôt être réveillé par le boucan d’enfer déferlant des cieux, là où se planquait naguère Dieu le Père, jusqu’ici à l’abri de la merde, des inondations et du bruit. Le salut, à l'époque, venait du ciel.

Dans les 4 ans qui viennent plus de 10.000 nouveaux satellites vont roter autour de la planète. Chacun veut le sien : Samsung, Google, Apple, Fesse bouc… Pour le bien de l’humanité évidemment ! Comme le dit Zuckerberg, fondateur de Fesse bouc et grand flic en chef de nos intimités - « j’aime » « t’es mon ami " - cf  article 166 - : « nous avons une opportunité historique de tirer le monde entier vers le haut » (Le Monde économie du 6/10/15) … surtout l’Afrique et l’Inde, avec son potentiel de 4 milliards de futurs clients susceptibles de doper les revenus publicitaires… vers le Haut.satellites

Après les soviets plus l’électricité, promis par Lénine, l’Internet pour tous, nouvel horizon de l’humanité en marche, promis par Fesse bouc !

Ces satellites, gravitant dans l’espace autour des 1.000 km (orbite basse) nous promettent de beaux embouteillages célestes, surtout si on y ajoute le bon millier de drones et ballons se baladant entre 15 et 30 km. Des carambolages à la pelle avec les milliers de débris de satellites morts qui encombrent autant l’espace que boîtes de sardines au Mont Blanc ou sacs plastiques dans les fonds marins.

Quand, entre deux orages du réchauffement climatique, vous irez visiter vos nouveaux zamis Fesse bouc, n’oubliez pas de prendre votre parapluie et surtout votre combinaison en acier blindé.

Le danger vient du ciel.

JK

 

COMMENTAIRES

-Ah mon colonel, les beaux embouteillages célestes que nous avons là ! Sûr, on ferme on ouvre on ferme on ouvre, des fenêtres et des fenêtres, ça nous tire tous vers le haut de l'écran, pour cliquer sur la croix ! Avant on faisait tout ça à la main aux carrefours, enfin je veux dire aux calvaires, et avec le couteau sur le dessous du pain, mais c'est fini tout ça ! On a besoin d'une souris pour tout, et plus besoin de sortir de chez nous! Vivons heureux bien isolés ! Vive les satellites, les drônes, vive les nouveaux miradors modernes invisibles, qui ne pensent qu'à notre bien et notre sécurité surtout. C'est parce que le bon dieu est trop vieux. Il baisse. Il lui faut du matos pour lui donner un coup de main. Les lobbies sont trop forts, même là haut ils colonisent le bon dieu et ses saints !
Avant on se sentait tous reliés quand on s'agenouillait à la messe, aujourd'hui pour communier, en un seul clic la procession s'affiche à droite de l'écran... Bon, là haut le bon dieu il a  le tournis c'est évident, mais à mon avis il est sous Stilnox ! Sinon, on aurait déjà eu affaire à son courroux.
Les lobbies pharmaceutiques ont un succès fou.

Tient en parlant de la droite, je voulais vous dire qu'il a fait fort notre député Le Fur ! D'abord on avait vu juste, faut le dire, une fois de plus nos prédictions étaient limpides : Notre Jean-Yves revient pour nous sauver. On devrait l'appeler Jean-Yves Super. Le Drian va sauver la Bretagne de la vague bleue. Il n'y avait que lui pour s'y attaquer, c'est pour ça qu'il porte un joli ciré ! Le Drian c'est le phare des bretons perdus dans la tempête mondiale. Le Drian c'est notre gloire, notre espérance et notre salut ! Le Drian c'est la lanterne du Club des trente, ce joli club discret et très sélect où les grands de ce monde se rendent service. Et quand les grands de ce monde se rendent service, tout le monde en profite, certainement. Et nous les bretons, on a vraiment de la chance, d'avoir un ministre de la défense pour nous défendre, puisque c'est sa spécialité maintenant. Le pauvre, paraît qu'il est écartelé, ça doit faire mal quand même. Ecartelé entre l'Etat et la Région, oh mais ça devrait pouvoir s'arranger ... Faut pas se faire trop de souci pour lui quand même. Un bon cumul bien organisé ! Le PS n'aime pas les cumuls ça fait trente ans qu'il le dit, mais aussi trente ans qu'il le fait, sans complexe. C'est pour les autres partis que le PS n'aime pas les cumuls en fait. Pas pour lui.
En tout cas, Marc Le Fur sur France Inter hier en a dit beaucoup de bien du Jean Yves. Il a commencé son discours en disant, je connais bien Jean-Yves Le Drian, c'est un excellent il a dit Le Fur ... C'est un excellent, et il a ajouté, vendeur d'armes.
Remarque, on n'est pas surpris, à force de copiner avec Bolloré, ils ont fini par faire le même métier, Jean-Yves et Vincent. Et si on grattait un peu on pourrait penser que Marc il aimerait bien faire comme eux.
Et Troadec son ciré il le choisira de quelle couleur au fait ?
Les voies du pouvoir ne sont pas impénétrables.
Sainte Iso, priez pour eux !

Iso

-J'ajoute quand même, à cet article satellitaire, que les océans ne sont pas mieux traités : 99% du flux informatique passe par les cables sous-marins. Avec un pic de cables, reliant l'occident à l'Asie, passant sous le canal de Suez. JK

 

 

Ce week-end, je participais à un festival de conférences gesticulées OCTOBRE BOUGE, organisé par une journaliste, une fille aux cheveux rouges, à Paris Malakoff chez les Malakoffiots et Koffiotes, à côté de Vanves dans le 92 ! Une espèce de bulle de résistance aux normes qui me fit monter en altitude, au point que je n'en suis pas encore redescendue. A Malakoff, les citoyens sont en pleine santé et la pensée critique ne circule pas sous le manteau, elle s'affiche même sous les préaux des écoles et jusque dans les salles des fêtes. C'est génial. Quelle belle énergie dans le neuf deux. 

Cependant, Malakoff comme partout ailleurs, reflète aussi la grande fabrique d'appauvris dans laquelle nous sommes de plus en plus nombreux aujourd'hui. Là-bas, c'est comme chez nous en Bretagne, on s'appauvrit, on s'appauvrit, doucement mais sûrement. Ceci dit, c'est très sympa, une banlieue rouge, riche de son histoire, de sa classe ouvrière et de son parti. Riche de sa place de la Mairie où les jeunes enfants jouent sous les yeux attendris de leurs parents. Riche de son tissu associatif impressionnant. Une banlieue riche de ses petits pavillons d'antan. Riche de ses rues piétonnières. De sa vélorution. Riche de ses vieux arbres, ses parcs publics, ses impasses encore pavées où les toutous promènent leurs maîtres.Pauvre 01

 Au Conseil Départemental, le Président c'est DEVEDJIAN qui est aussi député et puis, il y a un certain Jean Sarkozy aussi, qui avait tenu le volant chauffant au Conseil Général des Hauts de Seine, dans le canton de Neuilly. Le prince Jean ayant terminé son mandat en mars 2015. Travaillerait désormais dans les bureaux de papa, dans son prestigieux cabinet d'avocats d'affaires enfin ... il passerait de temps en temps ... pour faire entendre qu'il travaille là ! D'après la standardiste !

... Jusqu'ici ça n'allait pas trop mal dans les Conseils, les pauvres avaient l'air plutôt contents et leurs généraux trouvaient cela plutôt épatant. Ils ne réclament rien nos pauvres. Ils s'organisent entre-eux. Ils se tiennent correctement. Les pauvres, pensaient jusqu'ici les généraux, nous les aimons bien, ils ne sont pas regardants. Ils font ce qu'ils ont à faire, sans exigences particulières, vu qu'ils nous sont reconnaissants de pouvoir travailler en contrats précaires. De faire des stages gratuitement dans l'ESS. De travailler à temps partiels, mais jamais tout le monde en même temps. Ils ne demandent rien, vu qu'ils sont aussi au chômage, au RSA, au CUI au CAE en CIE en IAE et en contrats d'avenir ou bien en CDD dans le développement durable. Ils font avec ce qu'ils ont. Ils ne demandent rien, vu qu'ils bossent dans des associations à essayer de ne pas couler, avec une subvention de 300 euros à l'année. Trois cents euros c'est bien suffisant, il faut y aller doucement avec l'argent public, les dépenses faut faire attention ! Mon général est trop bon, la bonté de mon général perdra mon général devaient penser leurs pauvres, se disaient naturellement le Président et le Prince Jean. Ils ne demandent rien, vu qu'ils travaillent au black pour pouvoir manger un petit peu. Ils ne demandent rien, vu qu'ils s'auto entreprennent et s'auto exploitent et s'auto instrumentalisent pour payer au moins leur loyer et leur petit paquet de café. Ah, comme ils sont faciles et si économiques, nos pauvres ! 

 Mais les temps changent, c'est inquiétant.  Le prix du m² à Paris crevant tous les planchers en passant par tous les étages, de la cave aux firmaments, voilà les bobos qui rappliquent dans les banlieues qu'on disait jusqu'ici populaires. Les bobos, sont les riches immigrés des banlieux rouges maintenant. Et le problème avec les immigrés, c'est quand ils sont riches, justement ! Voilà que les bobos connaissent leurs droits et demandent de les faire appliquer. Ah ben merde, se dit mon général ... Avec les riches c'est pas la même chose, ils ont des exigences, eux ! Et ils réclament des crèches et puis des équipements. Et puis, ils revendiquent le droit d'être bien traités, entendus, écoutés et pris au sérieux, parce qu'ils le valent bien, eux ! Sans quoi, ils brandissent leurs références et pire, c'est qu'ils paient des impôts ces cons là !  Mince alors, les immigrés riches commencent à gonfler les conseils avec leurs réclamations et tout ça ... ! Manquerait plus qu'ils veuillent se faire élire. Pour un prince, ou pour un président, on peut comprendre que cela soit très irritant. On pourrait même imaginer qu'ils en sont à se demander si les riches ne coûteraient pas plus cher que les pauvres finalement.

ISO